Interview pmu, mercredi Ă Toulouse (R-1). Vincent Cabos : "KROCANTO BELLO a une bonne chance."
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Par Stéphane Davy
Auréolé d'une première victoire dans un quinté, au sulky de Icare du Beryl, le mois dernier à Agen-Le Passage, Vincent Cabos (photo) sera présent mercredi, à Toulouse (R-1) pour driver notamment des pensionnaires de Thomas Levesque. Il nous en parle et évoque également son avenir professionnel. Par Stéphane Davy.

Vincent, vous allez prochainement opérer un changement professionnel. Pouvez-vous nous en parler ?
En effet, à la fin de l'année, je vais cesser ma collaboration avec Thomas Levesque, lequel m'avait confié la gestion de son antenne, dans le Sud-Ouest. Or, le loyer était élévé et nos résultats n'étaient pas conformes à nos attentes. Rassurez-vous, c'est d'un commun accord. Nous nous quittons en excellents termes et restons amis. Dès le début d'année prochaine, je vais travailler en tant que prestataire de services dans les écuries de Yvan Lacombe, de Richard Westerink ou encore de la famille Terry. Et, l'après-midi, je me rendrai disponible pour aller driver sur les hippodromes du Sud-Ouest. J'apprécie la drive. Je me suis d'ailleurs attaché les services de Melvin Kondritz, l'agent de Eric Raffin.
Mercredi, vous driverez notamment deux chevaux entraînés par Thomas Levesque. Que pouvez-vous nous en apprendre ?
KROCANTO BELLO (601) m'avait bien plu lors de son succès acquis début octobre, à Beaumont-de-Lomagne. Et, la dernière fois à Toulouse, il était un peu bouillant. Il était en 2e ligne derrière l'autostart. Le cheval devant nous a fait la faute. Je n'ai pas eu mes aises et le cheval a pris le galop. En outre, c'était une nocturne. Autant de paramètres qui ont joué contre lui. Au travail, il est resté bien. Pour la première fois de sa carrièresera plaqué des antérieurs et déferré des postérieurs, et ce afin d'optimiser ses chances. Il a une bonne chance.
De son côté, JOYEUSE SMART (712) devra composer avec un numéro en seconde ligne derrière l'autostart. Il lui faudra donc un bon parcours. Cela dit, elle sait aller vite pour finir. En outre, meme si ce n'est pas encore la jument de l'an dernier, elle revient bien, surtout depuis que je la travaille différemment. Elle avait été malade et elle a mis du temps à recouvrer ses meilleures sensations.
