Samedi à Lisieux (R-3). Trois questions à Jérémy Roux
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Par Stéphane Davy
Jérémy, votre parcours professionnel est atypique. Pouvez-vous nous en parler ?
Pas de souci. J'ai débuté au contact des trotteurs, en Vendée, chez Jean Raffin, le père d'Olivier et d'Eric, lequel était encore apprenti. Ensuite, à 21-ans, je me suis orienté sur la profession de maréchal-ferrant. J'exerce toujours cette activité. Je suis à mon compte avec quatre salariés. Je suis basé en Normandie, non loin de Deauville et Cabourg. Au fil du temps, j'ai eu l'occasion de ferrer des galopeurs, et notamment de très bons chevaux comme Sottsass.
Vous entraînez également des trotteurs. Comment gérez-vous votre emploi du temps ?
Je suis permis d'entraîner, et m'occupe, en fonction des périodes, d'un ou deux trotteurs. Cela se fait sur mon temps libre. Je suis driver amateur, juste pour le plaisir, mon activité de maréchal-ferrant me prenant beaucoup de temps. Avec ma compagne, nous avons acheté le domaine d'Harcouel, à Varaville, cans le Calvados.
Samedi, Ã Lisieux, vous alignez FEMININE (314). Votre avis ?
Elle ne manque pas de moyens. Elle a bien gagné dernièrement à Chartres. Elle est restée bien. Son défaut reste le départ mais si elle s'élanlce correctement, elle aura une première chance à défendre. A noter également qu'elle a besoin de confort sous les pieds.
(Par Stéphane Davy)