La mise à pied de Jacques Ricou repose l'éternelle question de son champ d'application.

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Par Canalturf
Pour avoir administré plus de coups de cravache que ne l'autorise le code des courses vendredi à Auteuil et se trouvant en situation de récidive, Jacques Ricou (photo aprh), actuelle Cravache d'Or et premier jockey des Mulryan ne pourra monter ses partenaires dimanche prochain, deuxième journée du Grand week-end de l'obstacle. Naturellement, le règlement est le même pour tout le monde et naturellement, il doit être appliqué puisqu'il est juste et qu'il permet la régularité des courses, mais priver toute une équipe de son pilote, dans des épreuves aussi importantes que le Prix La Haye Jousselin, le Prix Maurice Gillois ou le Prix Cambacérès, pour lesquels ils travaillent depuis des mois voir des années, semble disproportionné. On pourrait admettre l'utilité d’un appel lorsqu'une sanction relativement minime doit s'appliquer à des épreuves aussi importantes. Mais d’ici là , Jacques Ricou qui pourra néanmoins monter le samedi regardera la réunion de dimanche depuis les tribunes.