Vendredi à Vincennes (R-1). Nicolas Delaroche : "Des raisons d'y croire avec JOYA DIA !"

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Par Stéphane Davy
JOYA DIA (709) participera au Prix Galathéa, vendredi, à Vincennes (R-1). Son entraîneur Nicolas Delaroche a livré ses impressions à notre journaliste Stéphane Davy :
"La pouliche s'est imposée en débutant, à La Ferté-Vidame. Ce jour-là , elle dominait des éléments qui ont confirmé depuis. Je pense notamment à Jack Foulonnière, qui a répété en région parisienne, ou encore Just For Life qui vient de gagner à Cabourg. La ligne était intéressante. Et, la dernière fois, à Enghien, ce n'est pas de sa faute. Elle n'est pas spécialement fautive. Or, ce jour-là , j'ai pris un bon départ avant de la reprendre. J'aurais du rester devant. Elle a fait la faute quand le rythme a été brusquement repris. A mon avis, elle aurait lutté avec les deux premières. Elle a des facilités et de la précocité. Je l'estime et je la pense capable de courir avec les meilleures de sa promotion. Elle est très bien au travail. Elle est posée. Elle est capable d'aller devant et imprimer son rythme. J'ai de raisons d'y croire ! "*
Il nous parle également de GAIN ULTIME : "Il avait passé un mois et demi aux champs après le meeting dernier avant d'aller à la mer chez Vincent Maillard. Depuis qu'il a été soigné, c'est de mieux en mieux. Il a gagné en sagesse et en efficacité. Il a mieux couru que ne l'indique sa dernière disqualification, au sulky, à Vincennes. Il avait un bonnet fermé et s'est montré rapidement fautif mais il a eu un bon comportement en retrait. Au sulky, il est plus compliqué au départ mais, selon Mathieu Mottier, le cheval pourra avoir des ambitions cet hiver, à l'attelé. En attendant, il aura un bel engagement, sous la selle, le 29 septembre à Argentan, avant d'envisager le meeting d'hiver avec des ambitions. A noter qu'il est aussi bien corde à gauche qu'à droite." et de FREE AND EASY : "Il travaille bien le matin mais cela se passe mal en course. Il reste très compliqué."